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Yóllotl, cœur mexicain

2021, crayons de couleur et feutre, Arche, 50 X 65 cm

Les différents éléments du cœur mexicain

En náhuatl, la langue indigène la plus parlée au Mexique, « cœur » se dit yóllotl, un mot qui partage la même racine que le verbe yoli qui signifie « vivre ». Il renvoie à l’essence ou la force de la vie, à ce qui est caractéristique d’être vivant. Pour les locuteurs náhuatl, le cœur est ainsi la source d’actions aussi complexes que réfléchir, connaître, écouter, voir, illuminer ou encore s’affliger.

  • Le jaguar (Panthera onca) et le léopard ou panthère noire (Panthera pardus)

  • L’oiseau de Paradis ou paradisier (Paradisea minor

  • Le toucan Toco (Ramphastos toco)

  • Le serpent (des Serpentes)

  • Le papillon (Lepidoptera

  • Le cafard ou cucaracha en espagnol, encore appelée blatte (des Blattaria)

  • Le bananier (Musa)

  • La rose (Rosa)

  • Le corail du Mexique (Bessera elegans)

  • L’hibiscus

  • Le lys ou lis (de la famille des Liliacea)

  • Le Psilocybe mexicana 

Saint(e) bienfaiteur(trice)

La Catrina : personnage populaire de la culture mexicaine, elle est représentée sous la forme d’un squelette de femme portant un chapeau très élégant provenant d’Europe et caractéristique de la bourgeoisie porfiriène, avec une fonction de memento mori destiné à rappeler que les différences de statut social n'ont aucune importance face à la mort. À l’origine, la Catrina n’était pas une représentation de la mort, mais avait été popularisée par le caricaturiste mexicain José Guadalupe Posada pour se moquer de la bonne société et de ses manières. Elle est devenue une figure incontournable de la fête des morts mexicaine.

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